QUI ETAIT ANNE CATHERINE EMMERICH ? La plus grande visionnaire de tous les temps |
Un Visage a pris forme |
Cette page a été concue à partir d'un texte de Jacques Atlan, toulonnais, philosophe et auteur d'ouvrages comme "Essais sur les principes de la psychanalyse" (Editions l'Harmattan). Il est le président de l'association "3 statues pour l'Europe". http://www.3statues.eu Jacques Atlan travaille sur son prochain livre: "L'Evangile provençal", à partir des visions d'Anne Catherine Emmerick. Des extraits sont visibles sur son site : http://www.philosophie-j-atlan.net Jacques Atlan |
Un Visage a pris forme "Un photographe de la NASA, athée, et très versé dans la chimie photographique, a travaillé un jour sur un négatif d'une photographie du visage qu'on entrevoit sur le Suaire de Turin. Avec des procédés de coloration, il a voulu retrouver un équivalent de ce qu'avait pu être ce visage, du vivant de l'homme dont le corps avait été entouré avec ce Suaire. Vous pouvez voir le Visage qui a pris forme et coloration dans le bain photographique de ce chimiste photographe en allant sur le Site http://www.3statues.eu, et en cliquant, en Page d'Accueil, sur "Le récit du rêve". Plusieurs images illustrent le texte, et la dernière sur cette partie du Site est justement ce qu'a découvert le chimiste athée de la NASA. Il a été tellement surpris, secoué, bouleversé, de constater qu'un Visage aussi beau, aussi empli de Présence, et capable de "regarder" celui qui le contemple, avait pris forme dans son bac photographique qu'il s'est converti au christianisme." (Jacques Atlan) Pour voir d'autres représentations célèbres du visage de Jésus-Christ : http://www.spiritualite-chretienne.com/christ/miracles.html
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"Sur le Suaire de Turin, Anne-Catherine Emmerick raconte une scène extrêmement intéressante à propos d'une convocation à Rome de Véronique, de Nicodème et d'Epaphras, dans la troisième année après l'Ascension du Christ, c'est à dire, d'après les dates que l'on obtient en suivant les indications contenues dans les récits de ses Visions tels que Clemens Brentano nous les a transmis, en l'an 32 de notre Ere. L'Empereur Tibère voulait voir des témoins de la mort et de la Résurrection du Christ. Véronique avait emmené avec elle le Suaire sur lequel l'image du Corps du Christ s'était imprimée et le foulard avec lequel elle avait essuyé le Visage de Jésus lors de la montée au Calvaire, foulard sur lequel le Visage du Christ s'était imprimé. Ceux qui connaissent un peu la vie de Tibère dans ses dernières années pourraient faire ici une objection de principe : Tibère avait quitté Rome et vivait, non dans la capitale de l'Empire, mais retiré à Capri. Le récit d'Anne-Catherine Emmerick pourrait sembler à première vue frappé d'impossibilité historique. Cependant, voyez le Dictionnaire Encyclopédique d'Histoire de Michel Mourre, Tome VIII, page 4.468 : "la mère de Germanicus, Antonia, avertit secrètement Tibère des agissements de Séjan" (l'homme en qui Tibère avait placé toute sa confiance, celui qui, à Rome, était devenu le véritable maître de l'Empire, et complotait, tandis que Tibère vivait à Capri). "Le vieil empereur accourut à Rome et fit justice en livrant Séjan au Sénat : le ministre fut mis à mort avec toute sa famille (31)". Donc, en l'année 31, au moment du jugement de Séjan, Tibère était à Rome, et ce n'est qu'après avoir triomphé complètement de la conspiration de Séjan et de ses partisans qu'il retourna à Capri. Entre la fin de l'année 31 et le début de l'Année 32 de notre Ere, cela laisse donc une plage de temps pour que, depuis Rome, Tibère, effectivement, ait convoqué Véronique (de son premier nom Séraphia), Nicomède et Epaphras. Ce point d'histoire ayant été un peu clarifié, il est très instructif de lire le récit de la visite de Véronique à Tibère : "Je vis Véronique chez l'Empereur ; il était malade, sa couche était élevée sur des degrés ; un grand rideau était suspendu au-devant. La chambre était de forme carrée et n'était pas grande. Je ne vis pas de fenêtre, la lumière venait d'en haut : des cordons étaient attachés à des clapets qu'on pouvait ouvrir. Lorsque je vis Véronique le visiter, il n'y avait personne près de lui ; ses gens étaient dans l'antichambre. Je vis qu'elle avait avec elle le Saint Suaire et un des linges du tombeau : elle étendit le Suaire devant lui : la Face était sur l'un des côtés. C'était une longue bande d'étoffe, une espèce de voile que Véronique portait autour de la tête et du cou. La Face du Christ ne ressemblait pas à une peinture : elle était imprimée sur le linge avec du sang et elle était plus large que dans un portrait, parce que le linge avait été appliqué tout autour du Visage". L'usage ayant un peu changé, les mots utilisés ici par Clemens Brentano semblent inappropriés : il parle du "Saint Suaire" alors que, jusqu'ici, il a été question en fait de ce que nous nommons aujourd'hui "le Voile de Véronique". Ce que nous appelons à présent le Saint-Suaire va être mentionné juste après : "sur l'autre linge, je vis l'empreinte sanglante du corps de Jésus flagellé. Je crois que c'était un linge dans lequel Il avait été lavé avant la mise au Tombeau. Je ne vis pas que l'empereur fut mis en contact avec ces linges, ni qu'il les touchât, mais il fut guéri par leur vue. Il voulait retenir Véronique, lui faire de riches présents, lui donner une maison avec des gens pour la servir : mais elle demanda seulement à retourner à Jérusalem et à mourir où Jésus était mort.
Je vis dans une autre Vision, Pilate mandé devant l'empereur
qui était très en colère. Je vis que Pilate, avant
d'y aller, mit sur sa poitrine, sous son vêtement, un morceau
du manteau de Jésus que lui avaient donné les soldats.
Je le vis parmi des soldats, attendant l'empereur. Il semblait déjà
que l'on sût combien l'empereur était irrité. On
voit que si Tibère a été guéri d'une
maladie par la vue du voile de Véronique et celle du Suaire qui
a enveloppé le corps du Christ, il a été en quelque
sorte touché par la Grâce (il est guéri d'une maladie),
mais "de plus loin" que Ponce-Pilate, puisque ce dernier,
en un geste de croyant, s'était procuré un morceau du
manteau du Christ et l'avait dissimulé sous son vêtement
pour se protéger, justement, de la colère qui s'était
emparée de Tibère lorsque ce dernier, après avoir
rencontré Véronique, avait pris conscience du caractère
exceptionnel de l'Être que Ponce Pilate avait laissé crucifier.
Un fait d'histoire religieuse peut être interprété
dans le même sens : les chrétiens d'Egypte, les Coptes,
considèrent Ponce Pilate comme l'un des Saints et, selon cette
Tradition, Ponce Pilate s'était converti au christianisme sous
l'influence de sa femme Claudia (que l'Evangile nous montre intervenant
pour le Christ : "Ne te mêle point de l'affaire de ce Juste
; car aujourd'hui j'ai été très affectée
dans un songe à cause de Lui". Evangile selon St Matthieu,
XXVII, 19). Il est également très intéressant de
mentionner que, selon les recherches des historiens, l'épouse
de Ponce Pilate était une Provençale (elle était
née en Gaule Narbonnaise). Quant à Ponce Pilate, il
serait en effet mort en exil, à Vienne (en Gaule), en l'An
37 de notre Ere. Cette précision étant donc compatible,
elle aussi, avec le récit d'Anne-Catherine Emmerick (Ponce Pilate
vivait encore en l'an 32)." (Jacques
Atlan)
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La question de la datation du Linceul de Turin "Bien
sûr, il y a aussi la vive polémique au sujet de la datation
du Suaire de Turin par des scientifiques ayant utilisé le carbone 14. Selon eux, ce Suaire (dont le mode d'impression ne
serait pas pour cela rendu compréhensible) daterait non de l'an
29 ou de l'an 30 de notre Ere, mais de l'an 1.325 avec une marge
d'erreur de + ou - 65 ans. C'est à dire que l'origine de
ce Suaire serait à situer entre l'an 1.260 et l'an 1.390 de notre
Ere.
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L'Evangile provençal sur le site de Jacques Atlan |
L'histoire
du Mandylion :
Grâce à
Anne-Catherine Emmerick, nous pouvons même préciser que
cette rencontre fameuse entre Jésus et le peintre qu'avait envoyé
vers Lui le Roi d'Edesse eut lieu à Yyar (Ôn), dans
les premiers jours du mois de mai de l'An 27 de notre Ere. (Ôn
est une petite ville située non loin du lieu où Jean le
Baptiste avait donné le Baptême à Jésus). Par chance, quelques mois avant le saccage de Constantinople, ou peut-être un an ou deux auparavant, un Prince ou une Ville du Nord de la France avait envoyé son meilleur peintre effectuer à Constantinople une copie du très célèbre Mandylion. La copie réalisée par ce peintre, encadrée, est exposée à Laon, dans l'ancienne Cathédrale. Notre Pays dispose donc en ce lieu d'une copie, réalisée en 1203 ou 1204, d'un portrait du Christ ; l'original de ce portrait est aujourd'hui perdu, et date du mois de mai de l'An 27 de notre Ere ; la peinture a été effectuée, avec l'aide et la participation du Christ Lui-Même, par le peintre du Roi d'Edesse, Abgar V." (Jacques Atlan)
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L'histoire
de Nahed
Mahmoud Metwalli:
Les certitudes de Nahed ayant commencé à être ébranlées, elle n'avait pourtant, à ce moment encore, jamais lu ni les Evangiles, ni, encore moins l'Apocalypse de Jean. Or, une nuit de doutes, de tensions et d'insomnie, Nahed fut élevée jusqu'à un Lieu extraordinairement beau. Une sorte de Trône était là, vide d'abord. Autour du Trône, il y avait des Vieillards majestueux. Le récit de Nahed impose le rapprochement avec un passage de l'Apocalypse de Jean : "Vingt-quatre sièges entourent le Trône, sur lesquels sont assis vingt-quatre vieillards vêtus de blanc, avec des couronnes d'or sur leur tête" (Apocalypse de Jean, IV, 4). Celui que tous ces Vieillards attendaient arrive enfin et se dirige vers le Trône, tandis que tous lui manifestent un extraordinaire Respect. Nahed sent qu'il lui faut absolument suivre Celui qui se dirige vers le Trône. Elle le fait, est admise dans Sa proximité et Celui qui est désormais assis sur le Trône lui demande : "Alors, Nahed, c'est fini ?". La question sera répétée trois fois, "C'est bien fini ? Tu es sûre ?". Et Nahed, bouleversée, répond à chaque fois que, oui, oui, c'est fini, c'est bien fini, elle en est sûre. Ce qui est fini, c'est son incompréhension vis à vis du christianisme et son comportement de persécutrice vis à vis des Chrétiens. Mais elle ne sait pas du tout encore qui elle vient de voir de si près, la regardant avec un regard qui plongeait jusqu'au tréfonds de son âme. Au matin qui a suivi cette expérience intense, Nahed raconte ce qui lui est arrivé. Une chrétienne, éblouie, lui fait raconter cela trois fois pour mieux saisir ce qui avait eu lieu. Comme Nahed ignorait qui elle avait vu et désirait le savoir, on lui a montré des portraits de Saints. Mais aucun ne correspondait. Finalement l'un des chrétiens lui montre une photographie, d'ailleurs de qualité relativement médiocre, reproduisant le portrait qui avait pris forme dans le bac photographique du chimiste et photographe athée de la NASA. Sans hésitation, Nahed dit : "C'est Lui, mais Il est beaucoup plus beau !". Ainsi, comme autrefois Paul, un autre persécuteur de chrétiens (mais en ce qui concerne Paul, cela avait été jusqu'à mort d'homme : le martyre de St Etienne), Nahed avait eu une rencontre bouleversante avec le Christ Lui-Même. Le Christ en Royauté, recevant les hommages des Vingt-quatre Vieillards de l'Apocalypse ! D'où le titre de son livre publié il y a quelques années chez François-Xavier de Guibert : Ma Rencontre avec le Christ. " Si donc l'on accorde foi à l'expérience intense, mariale d'abord, christique ensuite, vécue par Nahed Mahmoud Metwalli, devenue l'une des chrétiennes d'Egypte, avant de devoir se réfugier en Europe, on peut prendre conscience de l'importance et de la signification de ce Visage qui a pris forme dans le bac photographique d'un chimiste de la NASA, lequel avait opéré à partir du négatif d'une photographie du Suaire de Turin, pour tenter de reconstituer le visage de celui dont le corps avait été enveloppé par ce linceul. A partir de la mort (le Suaire), il avait été donné à ce chimiste de retrouver un Visage vivant. Et grâce au témoignage de Nahed, laquelle ne savait pas du tout Qui elle avait pu voir, nous pouvons dire que ce Visage est Celui du Christ vivant, donc, du Christ ressuscité et auquel les Vingt Quatre Vieillards de l'Apocalypse rendent hommage avec un immense respect. A chaque être
humain qui avait été hostile au christianisme, et qui,
comme Nahed, un jour aura compris, il sera demandé, en utilisant
le prénom de la personne : "Quand le
Fils de l'homme viendra dans sa Gloire, escorté de tous les anges,
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Le
visage de Jésus-Christ sur notre drapeau
- au temps du Roi
Soleil, par un message envoyé à Louis XIV par Sainte
Marguerite Marie depuis Paray-le-Monial, en 1689 ;
Lors de la tentative effectuée auprès de Poincaré, pendant la première guerre mondiale, une réalisation partielle est allée assez loin : Claire Ferchaud a réussi à s'entretenir avec le Président de la République ; certains des généraux français et un assez grand nombre de soldats, d'eux-mêmes (sans que ce soit, comme il aurait fallu, une mesure nationale), ont porté, cousue sur leur uniforme, une représentation du cur du Christ sur le blanc du drapeau français. A l'aspect, cela donnait si l'on veut comme "une synthèse" du drapeau vendéen et du drapeau tricolore (alors que, pendant la Révolution Française, les guerres de Vendée avaient opposé ceux qui se regroupaient derrière ces deux drapeaux). Il est intéressant de constater que l'intention venue d'En-Haut a perduré, que le régime politique soit la Monarchie absolue de Louis XIV (dont le second prénom était Dieudonné) ou bien la Troisième République laïque engagée dans la Première guerre mondiale. Dans les deux cas, il s'agissait d'inscrire sur le drapeau français un signe visualisant le Cur du Christ et Son Amour pour nous. En un sens, cependant, la construction à Paris de la Basilique du Sacré-Cur à l'initiative, entre autres de Madame Royer (1841-1924), est une sorte de réalisation reliée à cette demande de célébrer en France le Cur du Christ. "Un peu à l'image de ces demandes qui avaient été adressées au peuple français, dans chacune des nations, les humains, concernés chacun individuellement dans leur destinée, voudront aussi, un jour, faire figurer sur le drapeau de leur nation le Visage de Celui qui viendra "pour juger les vivants et les morts", c'est à dire chacun des citoyens appartenant à ce peuple, chacun de nous. De mon côté, j'aimerais que, reprenant spirituellement sa place et son rôle de "frère aîné" parmi les peuples chrétiens, le peuple français soit le premier des peuples à inscrire le Visage du Christ ressuscité sur son drapeau. La place du Visage du Christ y est, d'ailleurs, toute trouvée: en surimpression dans le blanc du drapeau tricolore. Dans un premier temps, il faudrait [que] cette image du Visage du Christ en surimpression sur le blanc du Drapeau français puisse circuler sur Internet avec le présent texte." (Jacques Atlan)
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Dialogue avec Jacques Atlan à propos du drapeau français avec le Visage du Christ. "Bonjour Jean François, le
Drapeau français est défini actuellement dans l'Article
2 de la Constitution de 1958. Si
un tel Référendum était organisé, voteriez-vous
"Oui" ? Très cordialement, Jacques Atlan" Bonjour Jacques, Pour
répondre à votre question sur la constitution 1958, je
voterai probablement "NON". Votre idée est louable
mais je ne peux accepter que des Etats, plus ou moins laïques,
partent en guerre avec le visage du Christ sur leurs drapeaux. "Bonjour Jean-François, merci pour la réponse. J'essaie de faire changer votre "Probablement Non" à l'éventuel futur Référendum : est-ce
qu'Anne-Catherine Emmerick évoque, à un moment ou à
un autre, l'Empereur Constantin et son rêve fameux, celui où
il a vu la Croix chrétienne avec le message "In hoc signo
vinces" ("Avec ce Signe, tu vaincras")? D'autre part, est-ce qu'aujourd'hui un Drapeau veut dire obligatoirement "guerre" ? De
plus, pour moi, tous les Peuples de la Terre voudront un jour que ce
Visage figure sur leur Drapeau, non pas pour se faire des guerres les
uns aux autres, mais pour honorer le Messie, Le
fait que Nahed ait reconnu ce Visage lorsqu'on lui a montré la
photographie qui a entraîné Que
dites-vous ? Bien cordialement, Jacques Atlan" "Bonjour Jacques, Je ne sais pas si Anne Catherine a vu quoique ce soit à propos de l'Empereur Constantin. On peut tout de même se poser la question de cette croix qu'il a vu dans le ciel. Si lui a été victorieux, combien de seigneurs et de soldats croisés sont morts avec cette croix sur leurs vêtements et leurs armures. D'ailleurs, la forme de la croix que voit Anne Catherine dans ses visions de la Passion est différente de la croix latine (et c'est tant mieux!). Depuis 1789 la France n'est plus catholique mais laïque. La liberté de culte est assurée, voilà l'essentiel. Pour voter "OUI" à votre proposition, il faudrait au préalable que l'Etat français revienne en arrière sur le principe de laïcité pour dire "OUI" au catholicisme (ou au christianisme). Je doute fort que ce soit d'actualité étant donné le goût prononcé des français pour la "Liberté" de conscience et l'essort de l'athéisme et de l'Islam en France. Ce drapeau pourrait ainsi "afficher" ce "OUI" au catholicisme, marquant un changement profond dans les mentalités. Sinon ce ne serait qu'une "idole" de plus. Ce
n'est pas "OUI" ou "NON" que je répondrai d'abord,
mais: "DANS QUEL BUT ?". Bien sûr, comme tout catholique,
je serai très heureux que la France devienne de nouveau catholique.
Le drapeau en serait l'aboutissement. Alors là: "OUI !".
Amicalement, Jean-François."
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Découvrez Anne Catherine Emmerich Retour Gabriel von Max (1885) " Et moi je suis morte, je ne suis qu'un esprit; autrement je ne pourrais voir ces choses, car elles n'existent pas maintenant, et cependant maintenant elles existent. Mais cela n'existe pas dans le temps; en Dieu il n'y a pas de temps, en Dieu tout est présent ; je suis morte, je suis un esprit. " (Anne Catherine Emmerich) |